CED 84 : Tout est miroir !
Extraction et digression de la conférence du 18/10/2010
En choisissant de « corriger » ou « soigner » une vision, une maladie en l’autre, c’est en vous-même que vous effectuer le « travail ».
Si j’essaie de corriger une colère, c’est ma propre colère que je guérie, si je travail à la guérison sur quelqu’un d’ « autre », c’est ma propre maladie que je guérie.
Tout le monde est la facette exacte des sentiments, des pensées, qui nous traversent dans le moment présent.
Ont se dit « je n’ais pas pensé que quelqu’un allait venir en colère vers moi » m’exprimé une colère que je ne ressens pas ! », Pourtant une personne viens à vous vous présenter, sur un plateau, cette facette de vous qui s’appelle colère. Peut être, cela vaudrait’ il le coup de se poser une seconde, avant de réagir au monde, et de bien réfléchir à « ou est la colère en moi », « qu’est ce qui en ce moment ne me convient pas du tout et contre quoi je lutte ».
Alors, parfois, ont semble atterrir sur une chose banale comme « je ne peux pas supporter cette personne ! » mais, encore une fois, quel facette de la personnalité de ce personnage, dans la forme, je ne supporte pas ? Car, bien sur, il est fort probable que j’ais cette facette là aussi en moi et que c’est contre cette facette de moi que je lutte…. Faites en l’essai …
Je m’amuse toujours avec ces gens qui ne supporte pas les commérages et qui, cinq minutes plus tard vous parle de la vie de leur voisin. Ou, de ceux qui ne supporte pas le racisme mais vous exprime qu’il ne supporte pas tel ou tel part de la population !
Si quelqu’un vous agace à vouloir tout contrôler, c’est votre propre gout au contrôle qui est mis en avant…. Que des miroirs, partout, en chaque situation !
Cette facette là, que nous ne supportons pas, comment agir avec elle ? Il y as deux chose que nous suggère l’ Esprit :
- Soit vous le voyez comme une facette de vous-même à corriger et , à ce moment là, prenez le temps de cette correction , du pardon de cette facette selon la méthode qui vous semble la plus appropriée ou simplement en vous disant « je vois cette facette là en moi », car déjà, par ces mots conscient, la correction s’effectue.
Quant vous voyez une erreur de français, dans mes textes ou dans une copie, vous voyez cette erreur, vous savez qu’il y a cette erreur et alors, la correction peut s’effectuer. Quant vous voyez la peur ou la colère, dites simplement, mentalement « tiens, il y as une part de colère ou de peur en moi ! ». Cela n’est pas un prêche, c’est à essayer, faites le !
Chaque personne que nous croisons est un éclairage sur nous même , il ne peut en être autrement car, nous ne sommes qu’ UN. Les facettes que j’amène à moi sont celle que j’ai pensé créer pour mon plus grand bien, à priori.
- Soit , comme la lecon 70 , utilisons le « pardonne leur ! ». Repensons à ce que l’on fait dire à Jesus sur la croix, il n’as pas dit « je leur pardonne », il aurait dit « seigneur, pardonne-leur ». Jesus n’était pas en position de comprendre ou de pardonner lui-même tellement sa souffrance était forte. Mais, en permanence, il se savait être plus que le corps de souffrance, il se savait être, aussi, le Père, le Seigneur. Ainsi, il s’adresse à cette facette de lui-même pour demander la correction de la vision de ce qui le fait tant souffrir. Agissons de même, nous pouvons faire pardonner une vision, même une vision de nous même, si nous n’arrivons pas à le faire par nous même.
J’ai souvent entendu des gens parler de leur père ou de leur mère en disant :
« je ne comprends pas cette facette de moi-même » ou, plus simplement, « je n’arrive pas à lui pardonner ce qu’il, ou elle, m’a fait » !
Cela laisse une trace énergétique en nous, qui pourrait bien allez jusqu’à un conflit, une maladie en nous. Comment faire ?
Hé bien, en s’adressant à cette partie de nous même qui peut pardonner :
« je ne peux par pardonner ce qui m’a été fait, mais seigneur, pardonne lui «
Cela sera fait et énergétiquement, votre double, l’esprit que vous êtes , va commence r a supprimer les part énergétique de cela et vous en retirerez le plus grand bien.
mardi 9 novembre 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire